BEUGNOT, Bernard, "L'invention parodique du XVIIème siècle", Etudes littéraires, 1986, vol.19, n°1, 81-94 pp. disponible sur le site http://www.erudit.org/
Lien vers l'article: http://www.erudit.org/revue/etudlitt/1986/v19/n1/500742ar.pdf
Cet article situe la parodie dans un siècle où sa définition, donnée par Richelet et Furetière, est très réductrice: "Sorte de poème, où pour jouer quelque personne on tourne avec esprit et un sens railleur et agréable les vers de quelque grand Poète. La Parodie a été inventée par les Grecs".
BIARD, Michel, "Théâtre du XVIIIème siècle: jeux, écritures, regards", Annales historiques de la Révolution française, 2001 disponible sur le site http://ahrf.revues.org/
Lien vers l'article: http://ahrf.revues.org/1037
Cet article traite des différents aspects du monde théâtral au XVIIIème, siècle de révolution politique et intellectuelle. Un rapprochement y est fait entre le théâtre de l'époque et les contestations qui animent les esprits.
FABE, Denis, "Lire un texte documentaire parodique", Lecture, disponible sur
Cet article s'appuie sur un texte de Marie-Ange Guillaume qui consiste en une parodie d'un texte documentaire. Fabé établit un protocole de lecture d'un texte parodique.
SALLIER, "Discours sur l'origine et sur le caractère de la parodie", Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, 1733
L'Abbé Sallier assigne à la parodie une mission utilitaire envertu des fameux préceptes classiques qui veulent que la poésie joigne l'utile à l'agréable et que la comédie corrige les moeurs en riant.
THOMSON, Clive, "Problèmes théoriques de la parodie", Etudes littéraires, 1986, vol.19, n°1, 13-19 pp. disponible sur le site http://www.erudit.org/
Lien vers l'article: http://www.erudit.org/revue/etudlitt/1986/v19/n1/500736ar.pdf
Cet article s'attache à présenter et à problématiser les différentes définitions les plus récentes de la notion de parodie afin d'en établir une certaine théorie.
VIELLEDENT, Sylvie, "Dumas parodié", Revue d'histoire littéraire de la France, 2004, 851-869 pp. disponible sur:
Cet article montre qu'après l'abolition de la censure en juillet 1830, le théâtre du XVIIIème siècle, notamment de celui Dumas, Musset et Hugo, sucite les réécritures et les commentaires moqueurs de la part des parodistes.
Ces derniers profite de cette liberté due à la considération portée sur la parodie qui n'est vu que comme un genre futile.
Mots clés: romantisme, censure, Dumas, Hugo
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